Bakura est d’une beauté vampirique, il possède des cheveux mi- longs blanc en bataille descendant jusqu’au milieu de son dos. Ses yeux d’un rouge sanglant, transpercent n’importe quel regard, qui est accentué avec sa peau blême le rendant un peu plus inhumain. Malgré ses traits juvéniles, l’albinos est tout de même âgé d’un peu plus d’un siècle, ce qui pourrait faire baisser la garde de ses opposants, qui ne mesurerait pas le danger face à eux. Du haut de ses 1m80, le Vandel est très imposant de par sa taille mais aussi de par son regard menaçant, et de son éternel sourire malsain. Que dire d’autre ? Il adore porter des vêtements le mettant en valeur, comme par exemple son célèbre trench noir descendant jusqu’à ses pieds qu’il porte dès qu’il peut sortir à l’extérieur, montrant à tous que c’est lui le patron et personne d’autre. Bakura adore les longs manteaux qu’il aime porter avec des chemises, ouvertes ou fermées selon la température, « ça me va bien » aime-t-il dire, lui qui n’aime pas être négligé. Il doit être parfait, puisqu’il a une haute idée de lui-même. Des rumeurs racontent même, que certaines de ses vestes seraient faites à partir de peau humaine. Hormis ces goûts luxueux, le reste est plutôt sobre, il n’aime pas les couleurs qu’il juge trop flashy. La gente féminine est souvent à ses pieds, son charisme et sa tchatche en font un incroyable manipulateur. Son apparence nous ferait croire qu’il parle comme ceux de la bourgeoisie, la vérité est tout autre, il est arrogant et n’hésite pas à dire ce qu’il pense tel un sale gosse capricieux. Il possède un étrange tatouage qui recouvre son dos : Il représente un dragon, une signification particulière ?

Son apparence de Vandel est tout autre. Mais tout aussi majestueuse ! Lorsqu’il prend sa forme originelle il devient un immense dragon aux écailles rouges, et aux ailes gigantesques. Ne possédant pas de pattes avant, il utilise ses grosses pattes arrières et sa queue épineuse comme balancier pour tenir en équilibre sur la terre ferme. Ses griffes empoisonnées, ses boules de feu et son rugissement, font de ce dragon un cauchemar pour l’humanité. Et ça, Bakura s’en réjouit.

Ahalala. Tomber sur notre Bakura est pire que d’attraper le cancer. En effet, le Démon comme on le surnomme n’est pas un Vandel comme les autres. Les mots qui lui conviendrait le mieux serait : Psychopathe, ténébreux, sadique, capricieux, orgueilleux et j’en passe ! Mais rentrons un peu plus dans les détails.
Il siège principalement à Argenta, là où dirige une guilde de mercenaires expérimentés, c’est lui qui recrute, il est très exigeant et extrêmement colérique si on le fait attendre, c’est pour cela qu’il les choisit minutieusement lui-même. Il faut être audacieux et coriace pour oser se présenter à lui, et dire haut et fort que vous feriez absolument tout pour vaincre les humains. Ses sbires le savent parfaitement, il est d’une telle cruauté que peu de gens osent contester son autorité, non c’est non !
Parlons-en de sa cruauté. Bakura est sadique, le sang pour lui c’est comme de la boisson, il en a un très fort penchant, et l’expose fièrement, montrant aux humains qu’ils doivent le craindre. Il n’hésite pas à torturer ses victimes le plus lentement possible, car entendre les gémissements de ses proies, c’est comme une mélodie pour lui. Faire un génocide d’humains est un jeu pour notre albinos, malgré son vieil âge, il n’est pas aussi mature qu’on ne le penserait, malgré qu’il soit très intelligent et possède de nombreuses connaissances sur le monde qui l’entoure. Il devient vite incontrôlable à la vue du sang ou de ces satanés humains qu’il déteste tant. Tuer, torturer, terroriser, et emmerder le monde, sont ses valeurs. Un pur psychopathe comme on les aime. Il n’a de respect pour personne, sauf une, son créateur, ou celui qu’il pourrait appeler « Père », le dieu Vandel. Hormis cela, il est notamment solitaire, n’aimant pas trop la compagnie, bien qu’il puisse s’attacher à d’autres Vandels s’ils ont la même vision des choses que lui. Dans sa solitude il a passé beaucoup de temps à étudier la race humaine, Bakura est du genre curieux et aime se cultiver sur tout et n’importe quoi, même sur sa propre espèce.
Bien qu’une compagne à ses côtés pourrait lui changer les idées de temps en temps, il n’a jamais vraiment eu le temps de se préoccuper des femmes Vandels qui l’entourent, il les voit comme de simple collègue avec une paire de seins en plus.
Il n’a jamais changé depuis sa naissance, ou création, dont il se souvient à peine. Sa soif de sang et de pouvoir l’on poussé à faire des choses horribles, même à recruter des mercenaires pour qu’ils puissent exterminer les humains plus vite, par manque de temps. Il déteste recevoir des ordres, seul le dieu Vandel y est autorisé. Dû à son gros problème d’autorité, il a rapidement organisé des recrutements destinés aux mercenaires pour faire le sale boulot à sa place lorsqu’il en a pas envie.

C’était il y a si longtemps. Si longtemps qu’il ne s’en souvenait même pas, lui qui avait une mémoire infaillible. Il se rappelait qu’il devait quitter sa forme originelle de dragon pour pouvoir cohabiter avec l’espèce à éradiquer. Il avait adopté donc à son tour, une forme humaine, qui n’était pas pour lui déplaire, Bakura était plutôt satisfait de ce nouveau départ. Son « Père » l’avait créé dans le but de tuer la race humaine, et ça il allait le faire. Durant tout ce temps, il a cherché à se perfectionner pour devenir le plus fort, à obéir et chérir son Dieu. Il a passé sa vie à être acteur du massacre des humains, pour faire plaisir à son Dieu mais aussi par pur plaisir personnel. Hé oui, avec le temps son désir de sang et de torture s’est accentué et maintenant il ne vit plus que pour ça. Avec le temps il a appris à observer le comportement des humains, ils étaient tous si différents, c’était presque fascinant pour l’albinos d’en apprendre autant sur eux. Cette curiosité sur le monde qui l’entourait en fait désormais un adversaire intelligent et apte à agir en toutes situations. Mieux les connaitre pour mieux les exterminer.
Plus le temps s’écoulait, plus il devait trouver un moyen radical de les massacrer, mais malheureusement certains humains se dotèrent de pouvoir appelé « Minimum », ce qui compliqua la tâche des Vandels dont le démon qui était furieux d’apprendre cette terrible nouvelle. Comprenant que ça allait être plus difficile que prévu, Bakura devait trouver une solution. Il devait trouver un moyen de contourner ces pouvoirs, mais pour ne pas perdre de vue sa tâche à accomplir, il décida de monter une guilde de mercenaire à Argenta. Des mercenaires expérimentés qu’il embauche pour tuer les humains à sa place, allant de simples meurtres aux gros massacres, selon les capacités du mercenaire. Bien qu’il demande de « l’aide » aux mercenaires, ils le traitent comme de vulgaires pions, car pour même si ses hommes s’attaquent aux humains, ils font eux-mêmes partis de la race humaine, et ne sont qu’à ses yeux que de simples déchets un peu plus utiles que les autres. Malgré tout, de temps en temps, il s’autorise quelques plaisirs et va lui-même chercher ses proies pour se divertir.

Bakura possède le pouvoir des ténèbres, c’est-à-dire qu’il peut manipuler et contrôler les ténèbres, faisant de lui un homme-ténèbres. C’est un pouvoir plus offensif que défensif :
Forces = Les ténèbres produites par Bakura sont représentées sous forme de fumée noire. Il peut tout absorber dans ses ténèbres, que ça soit des êtres vivants ou des objets. Il peut également utiliser la gravité pour attirer irrémédiablement l'adversaire vers lui et frapper violement son adversaire. Comme le font les trous noirs, il peut également créer un vortex qui absorbe tout ce que l'utilisateur veut. Contrairement au véritable trou noir, les êtres et choses absorbées ne sont ni dissoutes ni anéanties, mais stockés dans un espace sans limites qu’il peut recracher à tout moment. Avec un peu plus de concentration, il est capable de plonger une ville dans le noir total, plongeant la population humaine dans un cauchemar réel.
Faiblesses = Pouvant absorber tout ce qu’il veut, il est vulnérable pendant ce laps de temps, ce qui laisse le champ libre à son adversaire. Selon le coup qu’il fait, il peut ressentir le coup de son ennemi x2 plus fort car il aspire le coup.